Et si nous l’avons étés, nous ne le resteront pas éternellement, parce que la roue tourne pour chacun de nous, et que si nous avons beau chercher à retarder les affres du temps, nous sommes toujours rattrapés au terme. Comme la très belle Carole Cordinier (2ème du championnat de France) avec laquelle je travaille aujourd'hui. Et qui, chaque jour, aiguise malgré tout ses compétences de "Beacheuse" afin de progresser encore et réaliser ses objectifs.
Alors que nous reste-il ?
Vivre mieux et être capable de savourer davantage chaque instant de notre vie : voilà le seul enjeu qui vaille véritablement !
Pour cela, il faut absolument lutter contre une forme de dégradation : celle de notre volonté. La volonté permet de donner de la saveur à la vie, elle permet de se faire violence pour réaliser ce que nous n’étions pas capables de faire spontanément. Parce qu’il est toujours plus aisé de se laisser aller, que de se tenir redressé et de faire des efforts. Malgré tout ce que peut raconter la presse féminine, les "télés réalité" et autres médias.: rien n'est donné et rien n'est acquis.
Notre destin est de savoir accepter des contraintes choisies, et de se confronter au monde. A l’effort. Aiguiser cette volonté de vouloir être meilleur. Au moins, juste un peu plus que ce que l’on était. Parce que c’est cette perception des résultats et de notre pouvoir sur des éléments extérieur qui stimulera notre motivation et provoquera une perception de notre pouvoir sur le monde. Et le cerveau est très sensible à cela : il s’est complexifié au cours de la phylogénèse dans cet objectif ! Courir plus longtemps, plus vite ou plus aisément. Reprendre une ligne plus galbée, une tonicité qui préserve des douleurs lombaires ou cervicales, tenir des postures plus longtemps, être moins fatigué, moins énervé, avoir un sommeil plus profond et davantage réparateur, être moins tendu etc.…
Pour s’investir, un tiers est souvent nécessaire car très peu d’entre nos parviennent à se dynamiser seuls, émoussés que nous sommes par une vie moderne et exigeante.
C’est ici qu’un coach peut être nécessaire, quelqu’un qui vous pousse raisonnablement, un peu plus loin que vous ne l’auriez fait tout seul. Juste pour empiéter sur la plage des progrès déterminants : ceux-là qui vont vous stimuler davantage pour accepter avec plus de joie et plus de motivation, de développer votre capacité à apprécier la vie.
Pour en faire une ressource.
Et libérer l’esprit…
On a beau se gausser, le problème, c'est que c'est souvent le cas...